a été fondée au début de 2016 par huit partenaires d’affaires, dont
Bon, avoir su que le produit de Lampix expliqué dans cette vidéo se trouvait possiblement à la vue quelque part chez Workville, j’aurais pu aller y jeter un oeil. Il faudra que j’effectue une plus grande part de recherche en amont de mes essais à l’avenir …
doublait sa superficie en s’emparant de l’étage situé juste au-dessus — une surface additionnelle de 14 000 pieds carrés (± 1 300 mètres) alors exploitée par Grind, un autre espace de travail partagé qui opère toujours à une adresse différente dans le même secteur.
L’offre et les commodités distinctives
Chez Workville, on peut, en plus d’apercevoir les lampes de Lampix, :
- profiter de la zone commune pendant une heure pour 19 $ US ou toute la journée pour 45 $ US et pour un mois, il faudra débourser 500 $ US;
- disposer d’un bureau réservé dans un espace privé, mais partagé, pour 750 $ US par mois;
- occuper un bureau fermé de deux à six personnes à partir de 1 500 $ US;
- ou réserver un espace pouvant accommoder jusqu’à 25 personnes.
L’expérience travailleur
Vous aurez compris que Workville offre aussi un accès 24/7 aux travailleurs nomades de passage vérifiés*, ce qui explique ma visite en dehors des heures ouvrables. Mon expérience demeure donc incomplète, mais voici tout de même les faits saillants.
- La connexion Internet était instable ce qui est plutôt étonnant considérant qu’un réseau efficace est un incontournable des tiers-lieux. Peut-être y avait-il un problème technique ce jour-là.
- Malgré cet inconvénient, j’étais bien installée pour travailler.
- L’équipe qui était sur place et qui écoutait de la musique dans la zone commune tout en discutant ne m’a pas empêchée de me concentrer sur mes dossiers.
- La lumière du jour était moins présente que je ne m’attendais puisque la zone commune, au centre, est entourée de bureaux privés.
- Finalement, un 2e irritant — en comptant l’instabilité du réseau — a contribué à écourter mon essai : l’odeur diffusée était trop parfumée pour mon système respiratoire. C’est donc une série d’éternuements qui m’aura convaincue de retourner à l’air libre.